A chaque séjour et san nécessité, j'avais l'habitude de rendre visite au consul que la France entretient, Dieu sait pourquoi , à Recife. Cette année-là, je trouvai ce brave homme livide et boulversé. Peu avant mon arrivée, il s'était occupé d'une française dont il me raconta l'affaire en quelques mots. Nos diplomates sont préparés aux drames mais guère à ceux de l'amour...